21 octets ajoutés, 7 avril 2017 à 07:52 Les lignes suivantes ont été ajoutées (+) et supprimées (-): Février 2017 => Collection à jour.Mars 2017 => Collection à jour.J'essaie ici de recenser tous les légumes anciens, ou un peu plus récent, issu de Normandie (Haricot à rame Petit carré de Caen, potiron d'Alençon, Choux cabus blanc de Louviers, de Saint-Saëns, laitue pommée brune percheronne, etc.) et des îles Anglo-normandes (panais demi-long de Guernesey, chou cabus cœur de bœuf de Jersey, etc.). Pour le reste (variétés non spécifiquement de Normandie) j'essaie d'utiliser surtout des variétés adaptées aux climats de l'Ouest de la France. Donc en somme, ce qui pousse bien sous notre climat où il fait beau plusieurs fois par jour. ^_^J'essaie ici de recenser tous les légumes anciens, ou un peu plus récent, issu de Normandie (Haricot à rame Petit carré de Caen, potiron d'Alençon, Choux cabus blanc de Louviers, de Saint-Saëns, laitue pommée brune percheronne, etc.) et des îles Anglo-normandes (panais demi-long de Guernesey, chou cabus cœur de bœuf de Jersey, tomate Jersey Devil, etc.). Pour le reste (variétés non spécifiquement de Normandie) j'essaie d'utiliser surtout des variétés adaptées aux climats de l'Ouest de la France. Donc en somme, ce qui pousse bien sous notre climat où il fait beau plusieurs fois par jour. ^_^Mon jardin est sans traitements chimiques, hormis la bouillie bordelaise. S'il y a des nuisibles, c'est lutte biologique et manuelle ; pour le reste eh bien je laisse la nature faire. Avec la réintroduction de larves de coccinelles en 2015 par exemple, j'ai constaté une très grande maîtrise des colonies de pucerons dans le potager par ces jolies petites bêtes rouges et noires. Dès que ces colonies commençaient à prendre de l'importance, hop, régulation automatique par leurs prédateurs, donc en acceptant un peu de pucerons dans le potager, il n'y a pas eu besoin de traitement au savon noir ou de suppressions manuelles. La Leçon de tout ca ? Si on accepte une petite perte de 5 à 10%, on peut laisser faire la nature sans aucune intervention de notre part, les années normales bien sur. Ca n'a pas été le cas pour le mildiou en 2016 toutefois. J'essaie de mettre en place depuis la saison 2014 le paillage, la rotation et l'association des cultures. Depuis deux ans je pratique le paillage vivant l'hiver pour protéger le sol (mauvaises herbes non grainées, culture en places et engrais verts).Mon jardin est sans traitements chimiques, hormis la bouillie bordelaise. S'il y a des nuisibles, c'est lutte biologique et manuelle ; pour le reste eh bien je laisse la nature faire. Avec la réintroduction de larves de coccinelles en 2015 par exemple, j'ai constaté une très grande maîtrise des colonies de pucerons dans le potager par ces jolies petites bêtes rouges et noires. Dès que ces colonies commençaient à prendre de l'importance, hop, régulation automatique par leurs prédateurs, donc en acceptant un peu de pucerons dans le potager, il n'y a pas eu besoin de traitement au savon noir ou de suppressions manuelles. La Leçon de tout ca ? Si on accepte une petite perte de 5 à 10%, on peut laisser faire la nature sans aucune intervention de notre part, les années normales bien sur. Ca n'a pas été le cas pour le mildiou en 2016 toutefois. J'essaie de mettre en place depuis la saison 2014 le paillage, la rotation et l'association des cultures. Depuis deux ans je pratique le paillage vivant durant l'hiver, pour protéger le sol ("mauvaises" herbes non grainées, culture en places et engrais verts).Je réalise un maximum de semences moi-même, en essayant de faire attention aux croisements de variétés. Je ne produit donc pas tout mes haricots chaque année par exemple. La conséquence est que je n'ai pas toutes les variétés disponibles tout les ans à l'échange, c'est selon les stocks et les demandes. Cela permet également de sélectionner par défaut les graines qui se conservent plus longtemps. Je tente de sélectionner les plus beaux sujets, mais toutefois sans acharnement. Je réalise donc beaucoup d'échanges en local et via internet. Je n'achète ainsi plus que quelques paquets de graines par an, par rapports à la large centaine de variétés que j'ai en banque (bio, non hybrides et de préférence des variétés anciennes).Je réalise un maximum de semences moi-même, en essayant de faire attention aux croisements de variétés. Je ne produit donc pas tout mes haricots chaque année par exemple. La conséquence est que je n'ai pas toutes les variétés disponibles tout les ans à l'échange, c'est selon les stocks et les demandes. Cela permet également de sélectionner par défaut les graines qui se conservent plus longtemps. Je tente de sélectionner les plus beaux sujets, mais sans acharnement. Je réalise beaucoup d'échanges en local et aussi un peu internet. Je n'achète ainsi plus que quelques paquets de graines par an, par rapports à la large centaine de variétés que j'ai en banque (bio, non hybrides et de préférence des variétés anciennes).
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